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Source : ITRNews, 24 mai 2012 La mobilité des travailleurs constitue un nouvel enjeu pour les entreprises de toute taille. Elle est même considérée comme un défi (entre « un peu » et « extrêmement ») par près de la moitié (43 %) des personnes interrogées en France par Symantec, dans le cadre de son étude « State of Mobility Survey ».(1) Si cette mobilité des travailleurs devient de plus en plus importante au sein des sociétés, elle se trouve d’autant plus facilité que se développe une nouvelle génération de solutions mobiles, à savoir : les scanners portatifs.
Toutefois, pour prétendre faciliter la numérisation pour les personnes en déplacement, une solution doit répondre à certaines exigences. Il est souhaitable, par exemple, que le scanner soit de petite taille et compact afin qu'il puisse se glisser facilement dans la sacoche d’un ordinateur portable. Comme une prise électrique n'est pas toujours disponible, fournir l’alimentation de l’appareil par une interface USB augmente considérablement sa flexibilité. Un autre point positif pour les scanners mobiles est également leur capacité à traiter, transmettre, classer, indexer les documents exactement comme le font les plus gros appareils et les intégrer dans des applications telles que Google Docs, Evernote, Salesforce CRM, Salesforce Chatter ou SugarSync. Pour ce faire, la solution de numérisation doit assurer la transmission aux applications Cloud. Un usage facile résultant d’une simple pression d'un bouton renforce, d’autre part, grandement l'acceptation et l'utilisation d’un tel outil de numérisation. Les utilisateurs nomades ne doivent pas avoir besoin de phase d'apprentissage. Les fonctionnalités standards doivent pouvoir offrir un progiciel complet et simple ainsi qu’un fonctionnement intuitif afin que ces mêmes utilisateurs puissent analyser et utiliser leurs documents papier sur la route, tout aussi facilement et aussi sûrement qu’ils le feraient au bureau, sans avoir à apprendre une nouvelle routine. Mais il ya plus… Les solutions qui se configurent automatiquement et éliminent les fastidieux paramétrages de numérisation, sont particulièrement efficaces. Cela suppose qu'elles soient capables de différencier automatiquement les formats de papier allant d’A4 à A8. Elles doivent également être capables de gérer différentes épaisseurs de papier dans une pile, de supprimer automatiquement les pages blanches, de réduire les dossiers à leur taille réelle et d’ajuster individuellement la luminosité, le contraste et la couleur. Idéalement, elles doivent aussi être en mesure de traiter des documents A3 avec une alimentation en papier A4. De plus il est très pratique qu’un scanner mobile puisse, simplement en appuyant sur un bouton, convertir des documents papier en fichiers Word ou Excel, afin de les intégrer dans les processus numériques de l’entreprise (Scan-to-Process). Enfin, les solutions de numérisation doivent fournir tout ce qui est nécessaire pour l’organisation personnelle des documents. Par exemple, elles doivent offrir un agenda, le classement direct dans un répertoire, et générer des dossiers PDF que l’on puisse rechercher et consulter. Elles doivent être capables de numériser directement dans Microsoft Word, Excel, PowerPoint et SharePoint. La capacité de transmettre des cartes de visite numérisées directement à un logiciel spécifique tel que CardMinder et de les intégrer dans des applications de Cloud comme GoogleDocs, Evernote ou Salesforce apporte un confort supplémentaire. Les nouvelles gammes de produits de numérisation doivent aujourd’hui disposer d’un large éventail de fonctionnalités qui ne doit pas conduire automatiquement à un menu compliqué. Dans l’ensemble, trois grands principes essentiels doivent préluder aux choix d’un scanner mobile : en premier lieu, la capacité de numériser les documents et de les transmettre aux diverses applications à la pression d'un bouton ; en second lieu, la facilité d'utiliser l’appareil et ; enfin, l’absence de formation supplémentaire. Ainsi seulement, l’utilisateur nomade sera en mesure de travailler dans des conditions optimales, afin de renforcer sa productivité, car le scanner ne sera pas un obstacle mais, au contraire, un outil indispensable à cette dernière. Etude « State of Mobility » : les résultats pour la France :http://www.indexel.net/images/indexel/banque_photo_article/2012_02_22_symantec_etude/2012-state-of-mobile-survey-france-key-findings.pdf ![]() Source : ITRNews, 16 mai 2012 Avec l'essor des smartphones et des tablettes, forcément le marché de la mémoire mobile est en grande forme. Les revenus devraient d'ailleurs progresser de 6% cette année pour atteindre 14,9 milliards de dollars. IHS anticipe même une croissance de 9% l'an prochain de ce marché (qui englobe les mémoires flash NAND ou NOR, les cartes multimédia embarquées et la DRAM) avec des revenus de 16,2 milliards de dollars. "Le marché mobile a toujours été depuis quelques années le moteur des ventes de mémoire" explique Michael Yang, analyste chez IHS. "Et avec l'engouement actuel des consommateurs pour les terminaux mobiles, les prévisions pour ce marché restent particulièrement optimistes". La mémoire NAND flash est la principale locomotive de ce marché. Les ventes devraient avoisiner cette année les 10,5 milliards de dollars, en hausse de 14% par rapport à l'an dernier. D'ailleurs, en 2011, les revenus générés par les ventes de mémoire NAND Flash mobiles représentaient environ 50% du marché global de la mémoire NAND Flash. Les smartphones sont évidemment les principaux utilisateurs de ce type de mémoire : 54% des ventes étant adressées aux smartphones Android et 18% à l'iPhone. Les cartes multimédia embarquées (eMMC), elles, pèsent 3,7 milliards de dollars. Il s'agit des composants très appréciés des fabricants car ils permettent d'offrir d'importantes capacités de stockage, sans consommer beaucoup d'énergie. Quant à la mémoire NOR flash, ses ventes continuent à décliner avec seulement 1,5 milliard de dollars de chiffre d'affaires l'an dernier (contre 1,8 milliard de dollars en 2010). Les fabricants voient leur marché s'effriter, la plupart des marques de smartphones migrant aujourd'hui vers la mémoire NAND Flash. Ainsi Micro Technology a vu ses ventes chuter de 24%, tandis que Spansion a décidé de s'adresser plus largement au marché de l'embarqué et de laisser de côté les terminaux mobiles. Source : IDATE, DigiWorld Yearbook 2012 Source : IDATE, DigiWorld Yearbook 2012 Source : www.csa.fr Selon un récent rapport de l'institut de recherche IMS Research, 25% des téléviseurs vendus en 2011 au niveau mondial étaient connectables à internet et ce pourcentage devrait monter à 70% en 2016, pour un chiffre d'affaires global de 117 milliards de dollars.
"La connexion à internet est en train de devenir un standard sur les téléviseurs haut de gamme, et est de plus en plus présente également dans les téléviseurs moyen de gamme", affirme Véronique Thayer, analyste de marché, IMS Research, et auteur du rapport Connected TV Sets - World - 2012. L'étude révèle également que les systèmes d'exploitation propriétaires continueront d'être majoritairement utilisés par les fabricants, même si la montée en puissance d'Android devrait lui permettre d'atteindre une part de marché significative en 2014. Les prévisions d'IMS Research montrent également que au cours de 2016, plus de 80% des téléviseurs connectables vendus dans le monde seront équipés de Wi-Fi et environ 30% seront dotés d'interfaces utilisateurs avancées comme le contrôle des gestes, du mouvement ou la commande vocale. "Les téléviseurs connectés boosteront les ventee de téléviseurs à écrans plats au fur et à mesure que la demande pour les Smart TVs augmente", souligne Thayer. "Néanmoins, l'impact des téléviseurs connectés sur les ventes totales de téléviseurs sera diminué par la disponibilité d'autres appareils connectés tels que Apple TV, les players en streaming (Roku) et les consoles de jeu". Contact : veronica.thayer@imsresearch.com Source : Arcep, 10 mai 2012 L'ARCEP a publié hier les résultats de son observatoire du marché des communications électroniques (services mobiles) en France pour le 1er trimestre 2012, période qui prend en compte l'arrivée de Free Mobile. Le nombre de clients des services mobiles a atteint 69,5 millions au 31 mars 2012, ce qui correspond à un taux de pénétration de 106,5% de la population au niveau national (métropole et outre-mer). Le parc total augmente de près de 900 000 cartes au cours du trimestre, soit beaucoup plus fortement que les années précédentes pour un premier trimestre (en moyenne +300 000 au cours des cinq dernières années). Ce solde correspond à la différence entre les ventes brutes (7,8 millions) et les résiliations (6,9 millions) qui, les unes et les autres, ont atteint des niveaux exceptionnels. En métropole, le nombre de clients s'élève à 66,8 millions (+6,1% sur un an), dont les trois quarts (74%) sont des abonnements mensuels (forfaits). Ceux-ci ont plus fortement progressé au cours du premier trimestre 2012 (+1,6 million de forfaits) qu'au cours du quatrième trimestre 2011 (+0,9 million). Les opérateurs de réseaux mobiles métropolitains (Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange France et SFR) ont 59,4 millions de clients, en croissance de 940 000 au cours du trimestre. Le parc MVNO diminue d'environ 90 000 et s'élève au total à 7,5 millions de clients au premier trimestre 2012. La part de marché des MVNO passe ainsi de 11,43% au quatrième trimestre 2011 à 11,15% au premier trimestre 2012. La proportion du parc post-payé (forfait) libre d'engagement augmente de quatre points en un trimestre (24,1%) alors qu'elle était stable autour de 19% à 20% les précédents trimestres. La conservation du numéro a fait un bond spectaculaire au premier trimestre 2012, avec 2,6 millions de numéros portés contre un million au cours du quatrième trimestre 2011. ![]()
Source : ChannelNews, 10 mai 2012
10.05.12 - JOHANN ARMAND Les expéditions de PC en France ont reculé de 3,9% au premier trimestre à 2,7 millions d'unités. C’est le segment grand public (-7,1%) qui a tiré le marché vers le bas, lesegment professionnel ayant confirmé sa bonne résillience avec une progression de 0,8% en volumes. « La faiblesse de la demande s’explique en partie par l’augmentation de l’intérêt des consommateurs pour les autres terminaux mobiles et par la poursuite du déclin des netbooks », explique en substance Isabelle Durand, l’analyste Gartner en charge du marché français, dans un communiqué. Le segment professionnel a, pour sa part, été soutenu par le nombre des deals dans les secteurs de l'éducation et du public et l’accélération du cycle de remplacement lié la demande croissante pour Windows 7, poursuit-elle. Les PC portables sont en recul de 4,3% et ont représenté 62% des volumes. Les PC de bureau ont reculé de 3,2% et les netbooks de 38,9%. HP domine toujours le marché français avec 24,9% de parts de marché (en léger recul). Relégué à la troisième position au quatrième trimestre, Acer repasse numéro 2 malgré un nouveau recul significatif de ses expéditions (-24%) par rapport au premier trimestre 2011. Du coup, Asus (+21,4%) n’est qu’à 2,4 points de parts de marché de la deuxième place. Dell, numéro 4 reste stable et Toshiba, qui a réalisé la plus forte croissance (+55%), se hisse à la cinquième position, reléguant Samsung. Une perfomance qu’Isabelle Durand explique par la bonne gestion de la pénurie de disques durs par le constructeur japonnais et par la bonne disponibilité de ses produits. Malgré le lancement des ultrabooks à base d’Ivy Bridge Gartner prévoit que lemarché français des PC va rester sous pression dans les prochains mois. |
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July 2012
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