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Copie privée : la réforme du système demeure nécessaire malgré la décision du Conseil constitutionnel

24/7/2012

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Communiques du 24/07/2012
Publié par cherecopieprivee

Suite à une question prioritaire de constitutionnalité du Simavelec, le Conseil constitutionnel a jugé conforme à la Constitution les dispositions de l’article 6 de la loi du 20 décembre 2011 sur la rémunération pour copie privée (RCP), prolongeant d’un an des barèmes annulés par le Conseil d’Etat.

En tout état de cause, ces barèmes devront être revus dans les prochains mois. D’ailleurs, la décision du Conseil constitutionnel ne valide en rien le système actuel, il souligne même clairement que sa décision  « n’a pas pour objet de faire obstacle à ce que ces règles puissent être contestées devant le juge administratif pour d’autres motifs ». Ce que font plusieurs industriels à l’heure actuelle avec divers recours administratifs contre la décision N°14.

En réalité, le conseil constitutionnel ne fait que valider un article qui permet d’utiliser de manière temporaire des barèmes remis en cause précédemment par le Conseil d’Etat. Cette décision vise simplement à ne pas déstabiliser, à court terme, le système et à protéger les ayants droit.

Les consommateurs et les industriels rappellent donc qu’il ne s’agit que d’un répit temporaire pour les représentants d’ayants droit et qu’une réforme en profondeur du système de rémunération pour copie privée, devenu obsolète à l’ère numérique, s’impose. C’est d’ailleurs ce qu’a reconnu unanimement la classe politique lors des débats législatifs fin 2011.

Cette réforme est, de fait, déjà engagée dans un certain nombre de pays européens (Espagne et Pays-Bas notamment). En France, les tarifs de la RCP sont en moyenne 4 fois plus élevés qu’ailleurs en Europe et sans aucun rapport avec le manque à gagner réel des ayants droit. Leur fixation repose, en outre, sur des critères totalement arbitraires, à plusieurs reprises contestés par la Justice.

Les consommateurs et les industriels soulignent que les tarifs de la RCP, dénués de tout fondement économique, ont des conséquences négatives sur les équilibres du secteur tout entier, entrainant, notamment :

 - Une perte de pouvoir d’achat pour le consommateur français ;
 - Le ralentissement ou le non-développement d’usages bénéfiques au consommateur mais également à l’origine de dynamiques industrielles (investissement, innovation, emplois)
 - Le développement du marché gris intracommunautaire au détriment des revendeurs français ;
 - Un manque à gagner pour les distributeurs, les constructeurs et les importateurs qui investissent en France ; 
 - Une perte de recettes de TVA pour l’Etat.

La plateforme cherecopiepriver.org espère que la mission confiée à Pierre LESCURE sur les contenus numériques et la politique culturelle à l'ère du numérique sera l’occasion d’entamer une juste réforme du système de copie privée. Les consommateurs et les industriels du numérique entendent participer activement à ces discussions et peser sur les débats.

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Le projet de loi relatif à la copie privée a été voté conforme par le Sénat

20/12/2011

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Le projet de loi relatif à la rémunération pour copie privée a été examiné cet après-midi par le Sénat.

Comme prévu, la discussion a été on ne peut plus rapide (2 heures seulement, en présence d’un très faible nombre de sénateurs) et s’est soldée par un vote conforme au texte issu de l’Assemblée nationale.

Lors de la discussion générale, le ministre de la culture Frédéric Mitterrand a rappelé que le projet de loi répondait à une situation d’urgence et qu’il était nécessaire afin d’éviter « l'effondrement d’un système essentiel ». Il a affirmé qu’ au-delà de cette réponse de court terme, une réflexion plus poussée allait être engagée sur la RCP et a notamment indiqué le CSPLA avait été récemment chargé d’étudier l’incidence du cloud computing sur la RCP. Concernant la notice explicative, le ministre a précisé que le gouvernement veillerait à ce que les modalités règlementaires soient le plus simple possible.

Le rapporteur André Gattolin s’est, de manière générale, montré très critique du dispositif et des conditions du débat, reprenant tous les arguments que nous avons pu lui transmettre.

Il a notamment insisté sur le fait que le système de copie privée doit faire face à des défis de deux ordres : l’évolution de la technologie et l’intégration du droit et de la jurisprudence européenne. Il a noté que la mise en œuvre du système de copie privée en France était « contestable et souvent contestée », et a fait part de son regret du « calendrier plus que contraint dans lequel (le Sénat) a été enfermé » et de la menace de la pérennité du système « brandie come un couperet ». 

Concernant la notice explicative, André Gattolin a indiqué que l’information des consommateurs était un objectif louable mais, rappelant que « l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions », il a fait part de son inquiétude quant à la complexité du dispositif. Il a précisé qu’il avait accepté de retirer son amendement à ce sujet face aux garanties données par le premier ministre sur la souplesse du décret d’application.

Le rapporteur a par ailleurs pointé du doigt le taux français de RCP, plus élevé qu’à l’étranger. A ce titre, il a donné l’exemple d’un CDR pour lequel la RCP représente 23% du prix facial de vente. Il a ajouté à ce sujet que de nombreux consommateurs  se tournaient déjà vers l’étranger pour leurs achats , ce qui se traduisait par une perte sèche pour les vendeurs et l’Etat français.

Le rapporteur a également souligné le manque de transparence du système, et notamment des sociétés de collecte. Il a ainsi renvoyé aux rapports de la commission permanente de contrôle des sociétés de perception et de répartition des droits qui pointent l’opacité du système.

Enfin, il a rappelé  qu’une remise à plat du système était  nécessaire, et qu’il était plus généralement impératif de « trouver le moyen pérenne d’améliorer le financement de la création et de ses acteurs ». Il a également souligné que la réforme du système devrait se faire au regard des prochaines évolutions au niveau européen, rappelant qu’un nouveau cadre communautaire devrait voir le jour, incorporant les récentes décisions de justice européennes et définissant une convergence pour des régimes en vigueur dans les différents Etats membres.

Pour finir, le rapporteur a appelé les sénateurs à voter conforme tout en faisant part de son regret face aux améliorations qui auraient pu être faites et en appelant à ce qu’un nouveau dispositif soit bientôt mis en place.

Lors de son intervention, la sénatrice Catherine Morin-Desailly (sénatrice UCR, vice-présidente de la commission de la culture et de la commission des affaires européennes) a notamment  indiqué qu’elle partageait l’idée selon laquelle le Parlement devait être associé à la détermination de l’adaptation du système de RCP et qu’une harmonisation des tarifs au niveau européen serait souhaitable. Elle a également indiqué que plus généralement des solutions devaient être envisagées pour le financement de la culture, notamment concernant les  géants de l’ère numérique, principalement américains.

Au total, tous les intervenants à la discussion générale ont souligné que le dispositif actuel était en inadéquation avec les évolutions technologiques. L’ensemble des sénateurs présents a relevé que ce texte était un pansement insuffisant qui ne ferait que « retarder l’effondrement d’un système anachronique » (sénatrice Cécile Cukierman) et qu’une réflexion plus globale sur la RCP devait être engagée. Beaucoup ont relevé le manque de transparence du système et la nécessité d’une harmonisation européenne face à un taux français plus élevé que ses voisins.

L’amendement du rapporteur André Gattolin, visant à supprimer la disposition sur le périmètre de l’exception pour copie privée, introduite à l’Assemblée nationale par l’amendement de Lionel Tardy, a été rejeté.

Le texte peut désormais être promulgué et nous surveillons bien entendu de près sa publication au Journal officiel.

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La SACEM s'oriente vers la taxation du cloud computing

2/12/2011

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Source : http://www.numerama.com/magazine/20778-la-sacem-s-oriente-vers-la-taxation-du-cloud-computing.html

L'arrivée du cloud computing pose un certain nombre de défis nouveaux à l'industrie culturelle, notamment au niveau de la rémunération pour copie privée. Alors que les usages professionnels sont désormais exclus du champ de la redevance, la Sacem se prépare à un changement de paradigme. Ce n'est plus seulement les supports qu'il faudra taxer, mais aussi les flux. Le cloud computing est directement visé.

Avec l'émergence de l'informatique en nuage (cloud computing), les sociétés de gestion des droits d'auteur seront bientôt confrontées à un problème nouveau. Les supports numériques jusqu'à présent assujettis à la redevance pour copie privée serviront de moins en moins à stocker localement des fichiers. Ils serviront en revanche de plus en plus à accéder à distance à des services d'hébergement (iCloud, Google Music...).

Les fichiers copiés n'étant plus stockés localement sur des supports physiques mais à distance via des plates-formes dédiées, la rémunération pour copie privée pourrait donc voir son assiette être quelque peu bousculée. Une situation plutôt embêtante pour les ayants droit, d'autant que la nouvelle loi copie privée éjecte les professionnels de ce prélèvement. Les SPRD se préparent donc à un changement de paradigme.

Dans un entretien accordé à Musique Info, le président du conseil d'administration de la Sacem, Laurent Petitgirard, est revenu sur ce problème. Entre l'exclusion des usages professionnels, décidée suite à une décision rendue par le Conseil d'État, et l'arrivée du cloud computing, la Sacem s'attend à une baisse du montant global des perceptions d'au moins 20 %.

Cependant, Laurent Petitgirard ne veut pas se montrer trop inquiet. D'une part, la Commission copie privée intègre régulièrement de nouveaux appareils dans le champ de la redevance pour copie privée. Des dispositifs parfois inattendus sont concernés, comme les liseuses électroniques et les GPS. Les consoles ont jusqu'à présent pu y échapper.

Pour le président de la Sacem, la prise en compte de ces produits va permettre de compenser tant bien que mal l'exclusion des usages professionnels du champ de la taxe. Mais surtout, c'est le cloud computing qui va occuper les SPRD. "La prochaine grande révolution, qui va nécessiter un grand brainstorming de la part de nos juristes et négociateurs, c'est l'arrivée du cloud".

"Jusqu'ici on assujettissait les supports, mais on peut légitimement penser que cela va évoluer vers les flux" a-t-il ajouté. Une évolution qui cherche à coller aux nouveaux usages mais qui n'a définitivement plus rien à voir avec l'acte de copie privée. À l'origine, la loi Lang de 1985 devait fournir une compensation aux pertes réelles et supposées liées à la copie des cassette audio et à l'enregistrement des bandes FM.

Aujourd'hui, les usages ont bien changé et il apparaît de plus en plus que ce dispositif sert avant tout à apporter une source de revenus pour les auteurs. Il suffit de voir la nature de certains appareils taxés (comme les GPS) et les efforts fournis par le gouvernement et les parlementaires pour cibler l'informatique en nuage, un secteur en plein développement et sur lequel lorgne l'industrie culturelle.


Article diffusé sous licence Creative Common by-nc-nd 2.0, écrit par Guillaume Champeau pourNumerama.com

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Le lancement de la calculette www.chere-copie-privee.org a permis de rendre les barèmes de la rémunération pour copie privée un peu plus lisibles

24/11/2011

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Les organisations représentant les consommateurs et les industriels concernés par la copie privée ont mis en place, le 22 novembre 2011, la plateforme www.chere-copie-privee.org visant à sensibiliser le public sur le montant versé au titre de la rémunération pour copie privée.


Par communiqué de presse de ce jour, Copie France indique avoir relevé certaines erreurs sur le calcul effectué par la « calculette » à la disposition des consommateurs sur le site www.chere-copie-privee.org.


Après vérification, nous maintenons que la calculette reprend, avec exactitude, les barèmes en vigueur, tels qu’ils ont été adoptés par la Commission Copie Privée. Ceux-ci présentaient toutefois une ambigüité face à laquelle toute personne morale ou physique déclarant de la rémunération pour copie privée en France est nécessairement confrontée. Face à cette ambiguïté, nous avions pris le parti de nous placer dans le cas le plus défavorable, en considérant que l’entité déclarante ne prendrait pas le risque d’une mauvaise interprétation des textes en vigueur.


Nous nous félicitons que Copie France lève aujourd’hui publiquement cette ambigüité et nous recommandons que cette information figure désormais explicitement dans les documents communiqués aux entités déclarantes.


Le calculateur est à présent modifié en conséquence.


Contact presse :
Marc Héraud, Porte parole des industriels
+33 1 44 69 40 80
heraud@ficime.fr

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Les industriels membres de la commission copie privée appellent les députés à rééquilibrer le système de rémunération pour copie privée

23/11/2011

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Alors que l’Assemblée nationale s’apprête à examiner le projet de loi relatif à la rémunération pour copie privée, les industriels membres de la commission copie privée (SNSII, Secimavi, SFIB, Simavelec, Fevad auxquels s’associe le Gitep Tics) appellent les députés à rééquilibrer le système, au bénéfice de toutes les parties prenantes.

Les industriels rappellent qu’ils sont attachés au développement de la création et qu’ils ne remettent aucunement en cause le principe d’une compensation équitable des ayants droit lorsque ceux-ci subissent un manque à gagner du fait de la copie privée de leurs oeuvres. 
Cependant, la rémunération pour copie privée atteint, en France, des montants totalement exorbitants sans aucun rapport avec le manque à gagner réel des ayants droit, ce qui pénalise l’accès aux nouvelles technologies et contribue à développer le marché gris. Elle représente notamment environ 70% du prix d’un CD ou d’un DVD vierge. En moyenne, elle est 4 fois plus élevée en France qu’ailleurs en Europe. 

De fait, la fixation de ces montants repose sur des critères arbitraires arrêtés dans le cadre d’un système de décision déséquilibré qui, à l’évidence, ne fonctionne plus.


Les industriels relèvent d’ailleurs que les députés membres de la commission des affaires culturelles de même que le ministre de la culture et de la communication, Frédéric Mitterrand, ont unanimement reconnu que le système actuel de rémunération pour copie privée est devenu totalement obsolète dans l’environnement numérique et nécessite d’être revu en profondeur.


Aussi, les industriels demandent-ils aux parlementaires, dans le cadre du débat qui s’ouvre aujourd’hui en séance publique à l’Assemblée nationale, de veiller à garantir :

- le non-assujettissement des usages professionnels du champ de la copie privée, conformément à la directive 2001/29 et aux décisions de la CJUE (arrêt dit « Padawan ») et du Conseil d’Etat ;

- une méthodologie de calcul de la rémunération pour copie privée objective et transparente, validée par un organisme compétent et indépendant ;

- une gouvernance équilibrée du système permettant aux décisions de la commission de faire l’objet d’un large consensus.

Contacts presse :
Marc Héraud, Porte parole des industriels
+33 1 44 69 40 80
heraud@
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Le site www.chere-copie-privee.org est en ligne!

22/11/2011

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Une proposition de loi sur la copie privée sera débattue demain en procédure accélérée à l'Assemblée Nationale. Ce projet de loi vise à sanctuariser les recettes des ayants droits (180 millions d'euros en 2010), sans rapport réel avec leur véritable manque à gagner, qui n'est -lui- ni contesté, ni contestable.

L'organisation de défense des consommateurs UFC Que Choisir et les industriels fabricants de produits d'électronique grand public, représentés par le SECIMAVI, le SIMAVELEC, le SNSII, le Gitep Tics, le SFIB, la Fevad et la FFT, alertent les députés sur les incohérences d'un projet de loi qui va à l'encontre de la position européenne et qui risque d'être très préjudiciable pour les consommateurs.
Pour communiquer de manière efficace avec les parlementaires, UFC que Choisir et les industriels ont mis en ligne aujourd'hui le site www.chere-copie-privee.org, où les consommateurs peuvent non seulement calculer le montant de redevance qu'ils ont payée sur les produits électroniques qu'ils possèdent, mais également envoyer une lettre de sensibilisation aux parlementaires de leur région.

N’hésitez pas, en tant que consommateurs, à alerter -vous aussi- les parlementaires de votre région.

Ci-dessous le texte de la lettre:


Madame / Monsieur le Député,

Je viens de calculer le montant de la redevance pour copie privée sur le site de la plateforme chere-copie-privee.org, constituée par l'UFC-Que Choisir et par un groupement d'industriels. Je suis très désagréablement surpris par le montant que j'ai acquitté au titre de la rémunération pour copie privée, et, dans la perspective de la discussion par l'Assemblée nationale du projet de loi relatif à la copie privée, j'attire votre attention sur la nécessité d'un système de rémunération plus juste.

En effet, le calcul de la rémunération est aujourd'hui inéquitable. Elle constitue une compensation payée par les consommateurs aux ayants droit en échange de la possibilité de reproduire une œuvre. Mais le système actuel va au-delà de ce principe et conduit à une explosion des prix des produits vendus en France, ce qui pénalise l'accès aux nouvelles technologies. Ainsi, la redevance pour copie privée peut représenter pour moi jusqu'à 8 fois le coût réel d'un DVD vierge. Soit, en France, environ 70 % du prix de vente d'un CD ou d'un DVD vierge ! Les consommateurs français paient près de 4 fois plus de redevances pour copie privée que la moyenne européenne. Ce phénomène encourage les consommateurs à se tourner vers des modes d'approvisionnement permettant d'éviter le règlement de cette redevance.

Le projet de loi qui va arriver en discussion conduirait à sanctuariser ces recettes sans rapport avec le manque à gagner réel des ayants droit. Au contraire, je demande, comme la plateforme chere-copie-privee.org, que le mode de calcul de cette rémunération soit révisé au cours d'une mission confiée à un organisme compétent et indépendant.

Par conséquent, je compte sur votre vigilance pour contribuer à l'élaboration d'une nouvelle redevance pour copie privée qui offre un équilibre entre la nécessaire rémunération des ayants droit et les usages réels des consommateurs.

Je vous prie de croire, Monsieur le Député, à l'assurance de ma parfaite considération.

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