Le divertissement et la fiction restent les genres privilégiés de ce visionnage en ligne. Ils représentent respectivement 35 % et 31 % des consommations totales du mois de mai. Le divertissement ne représente, quant à lui, que 16 % de la consommation TV linéaire. A l'inverse, la part des magazines est plus élevée dans la consommation TV classique que dans la consommation de TV en ligne.
Source : Satellifax, 11 juillet 2012 La consommation de TV en ligne a bondi de 74,5 % en un an et s'est établie à plus de 1,25 milliard de vidéos vues sur les cinq premiers mois de l'année, selon le baromètre publié hier par les régies des groupes TF1, France Télévisions, Canal+, M6 et TMC (TMC et NT1), avec GfK et NPA Conseil, en partenariat avec le CNC. La consommation sur ordinateur reste prédominante, mais les autres écrans sont en progression. Ainsi, au mois de mai, 71 millions de programmes (27 %) ont été consultés sur TV. La consommation sur mobiles et tablettes a été, quant à elle, multipliée par cinq en un an.
Le divertissement et la fiction restent les genres privilégiés de ce visionnage en ligne. Ils représentent respectivement 35 % et 31 % des consommations totales du mois de mai. Le divertissement ne représente, quant à lui, que 16 % de la consommation TV linéaire. A l'inverse, la part des magazines est plus élevée dans la consommation TV classique que dans la consommation de TV en ligne.
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Source : ITRNews, 26 juin 2012 Les usages sur téléphones mobiles s'intensifient mais surtout se diversifient. Avec 20 millions de mobinautes en France et alors que le m-commerce devrait dépasser la barre symbolique du milliard d'euros en France en 2012, acheter avec son mobile se banalise. CCM Benchmark et CSA Consulting se sont associés pour réaliser une étude afin d'identifier les meilleurs leviers à privilégier pour accélérer l'adoption du m-paiement en France. Les questions de sécurisation des transactions au coeur des préoccupations L'utilisation du mobile pour les achats du quotidien ne pourra se développer que si certaines conditions sont réunies. Le premier frein mentionné par 83 % des Français est lié aux problèmes de sécurisation de la transaction mobile. En d'autres termes, l'argument de la sécurité de la transaction est la condition sine qua non du développement du mobile comme moyen de paiement. L'étude souligne par ailleurs que les Français seront particulièrement attentifs à la légitimité des acteurs qui se positionnent dans l'écosystème des moyens de paiement. " Les banques, les émetteurs de cartes bancaires ou encore l'association de banques avec un opérateur télécom sont les acteurs les plus légitimes pour proposer des solutions de paiement sur mobile selon les Français interrogés. Les solutions " pure-player " n'ont de chance de s'imposer que si elles se positionnent clairement et uniquement comme moyen de paiement. Enfin, les réseaux sociaux n'ont qu'une très faible probabilité de percer pour devenir des moyens de paiement " analyse Yvon Moysan, Manager chez CSA Consulting et co-auteur de l'étude. Les Français craignent en effet très majoritairement que leurs données personnelles soient alors utilisées à des fins commerciales ce qui nuit à la confiance nécessaire pour un moyen de paiement. Créer un avantage à payer avec le mobile Dans l'ensemble, l'accueil réservé au m-paiement est positif parmi les consommateurs qui anticipent même une démocratisation de ce moyen de paiement : 66 % d'entre eux sont convaincus que le paiement avec son mobile devrait décoller d'ici 5 ans. Néanmoins, même lors des phases tests à Nice ou Caen, le réflexe d'utiliser le téléphone pour payer chez les commerçants n'est pas encore répandu. L'argument d'éviter de faire une file d'attente pour payer est certes fort, mais pas suffisant. L'étude souligne l'importance de créer un avantage spécifique à payer par le mobile plutôt que d'utiliser un autre moyen de paiement ; pour preuve 53 % des Français interrogés seraient prêts à utiliser le mobile comme moyen de paiement s'ils ont un avantage à utiliser le mobile plutôt qu'un autre moyen de paiement. Mais au-delà de la logique purement transactionnelle avec le mobile, l'étude souligne de nombreuses attentes sous-jacentes de la part des consommateurs. Si Internet s'est imposé en l'espace de quelques années comme un canal de distribution pivot pour de nombreuses enseignes, le mobile pourrait rapidement devenir l'interface relationnelle la plus naturelle entre les enseignes et les consommateurs. Les attentes sont par exemple fortes pour près des deux tiers des personnes interrogées en matière d'optimisation des programmes de fidélité. " Nos études soulignent des inflexions majeures dans les comportements des consommateurs notamment en termes de fidélité à une marque ou à une enseigne. Le mobile est en passe de devenir le maillon le plus légitime pour les nouveaux programmes de fidélité. C'est surtout le seul média en permanence dans la poche du consommateur " estime Gilles Blanc, directeur d'études chez CCM Benchmark et co-auteur du rapport. Coupler le paiement sur mobile à son programme de fidélité qui permettrait au client d'accéder à des offres ou services privilégiés est donc un levier d'adoption fort à privilégier. 2015 - Année charnière pour le paiement mobile
Selon l'étude, le NFC (Near Field Communication ou technologie dite " sans contact ") devrait s'imposer comme standard technologique pour le paiement mobile. Mais le déploiement du m-paiement avec cette technologie devrait s'étaler sur une période comprise entre 3 et 6 ans à compter de 2012. D'une part les consommateurs doivent s'équiper en smartphones compatibles NFC, encore assez rares sur le marché en 2012. D'autre part, les banques doivent déployer les nouveaux TPE (Terminaux de Paiements Electroniques) compatibles NFC auprès des commerçants. Entretemps, il est assez fortement probable que les cartes de paiement soient de plus en plus compatibles NFC, ce qui permettrait une transition des usages en douceur pour les consommateurs, d'une carte de paiement NFC à l'usage de smartphones NFC. Méthodologie Cette étude unique se base sur plus d'une vingtaine d'entretiens qualitatifs avec des professionnels et experts les plus réputés sur les problématiques liées au m-paiement. En contrepoint, l'étude s'appuie sur une enquête menée auprès de 1 396 consommateurs représentatifs de la population française équipée de téléphones mobiles (téléphones simples et smartphones). Liste des entreprises, fédérations, banques et centres de recherche interrogés, dont : 3 Suisses, ADEN, AEPM, ATOS Wordline, BNP Paribas, Buyster, Cdiscount, CNRS, Crédit Agricole Pyrénées Gascogne, Crédit Agricole SA, Crédit Mutuel Arkea, ESSEC, FIA Net Europe - Kwixo, France Telecom / Orange, Ingenico, Paypal France, SlimPay, Société Générale, Université Nice Sophia Antipolis, Visa Europe. Source : ITRNews, 7 juin 2012 Selon IDC, le marché de la téléphonie mobile devrait croître de 4% cette année. Soit la plus faible progression depuis 2009. Cela dit, 1,8 milliard de téléphones mobiles devraient tout de même être vendus en 2012. Et IDC table sur 2,3 milliards de ventes en 2016. Côté systèmes d'exploitation, une petite surprise nous attend. La croissance relativement modeste du marché de la téléphonie mobile est due en partie à la baisse de 10% des ventes de mobiles basiques. "Beaucoup d'utilisateurs ne renouvèleront pas leurs téléphones mobiles en raison des conditions économiques" souligne IDC. Le problème c'est que ces mobiles standards représentent encore plus de 61% du marché. Heureusement, les ventes de smartphones devraient grimper de 38,8% à 686 millions d'unités. Des smartphones aujourd'hui moins chers qu'auparavant (car largement subventionnés par les opérateurs) et profitant d'une offre beaucoup plus large. Trois types d'appareils sortiront toutefois du lot : les modèles Android, l'iPhone et les Windows Phone. Android devrait d'ailleurs maintenir cette année son leadership et rester l'OS numéro 1 sur smartphone, et ce, alors que BlackBerry et Windows tenteront de se renouveler avec l'arrivée de BlackBerry OS 10 et de Windows 8. IDC reste persuadé qu'Android sera l'OS leader sur smartphone au cours des 5 prochaines années. Mais c'est en 2012 que sa part de marché devrait être la plus forte (61%), boostée par les bonnes ventes de smartphones Samsung. Apple et son iPhone 4S devrait s'octroyer 20,5% de parts de marché avant de lever un peu le pied. Quant à Windows Phone 7 bien qu'il ne soit installé aujourd'hui que sur 5,2% des smartphones vendus, c'est lui qui devrait afficher la plus forte hausse au cours des 5 prochaines années avec un croissance annuelle moyenne de 46,2% pour atteindre les 19,2% de parts de marché en 2016 et passer ainsi devant l'iPhone.
Pour BlackBerry, la situation devrait rester compliquée et sa part de marché ne pas décoller au-delà des 6%. Source : ITRNews, 24 mai 2012 La mobilité des travailleurs constitue un nouvel enjeu pour les entreprises de toute taille. Elle est même considérée comme un défi (entre « un peu » et « extrêmement ») par près de la moitié (43 %) des personnes interrogées en France par Symantec, dans le cadre de son étude « State of Mobility Survey ».(1) Si cette mobilité des travailleurs devient de plus en plus importante au sein des sociétés, elle se trouve d’autant plus facilité que se développe une nouvelle génération de solutions mobiles, à savoir : les scanners portatifs.
Toutefois, pour prétendre faciliter la numérisation pour les personnes en déplacement, une solution doit répondre à certaines exigences. Il est souhaitable, par exemple, que le scanner soit de petite taille et compact afin qu'il puisse se glisser facilement dans la sacoche d’un ordinateur portable. Comme une prise électrique n'est pas toujours disponible, fournir l’alimentation de l’appareil par une interface USB augmente considérablement sa flexibilité. Un autre point positif pour les scanners mobiles est également leur capacité à traiter, transmettre, classer, indexer les documents exactement comme le font les plus gros appareils et les intégrer dans des applications telles que Google Docs, Evernote, Salesforce CRM, Salesforce Chatter ou SugarSync. Pour ce faire, la solution de numérisation doit assurer la transmission aux applications Cloud. Un usage facile résultant d’une simple pression d'un bouton renforce, d’autre part, grandement l'acceptation et l'utilisation d’un tel outil de numérisation. Les utilisateurs nomades ne doivent pas avoir besoin de phase d'apprentissage. Les fonctionnalités standards doivent pouvoir offrir un progiciel complet et simple ainsi qu’un fonctionnement intuitif afin que ces mêmes utilisateurs puissent analyser et utiliser leurs documents papier sur la route, tout aussi facilement et aussi sûrement qu’ils le feraient au bureau, sans avoir à apprendre une nouvelle routine. Mais il ya plus… Les solutions qui se configurent automatiquement et éliminent les fastidieux paramétrages de numérisation, sont particulièrement efficaces. Cela suppose qu'elles soient capables de différencier automatiquement les formats de papier allant d’A4 à A8. Elles doivent également être capables de gérer différentes épaisseurs de papier dans une pile, de supprimer automatiquement les pages blanches, de réduire les dossiers à leur taille réelle et d’ajuster individuellement la luminosité, le contraste et la couleur. Idéalement, elles doivent aussi être en mesure de traiter des documents A3 avec une alimentation en papier A4. De plus il est très pratique qu’un scanner mobile puisse, simplement en appuyant sur un bouton, convertir des documents papier en fichiers Word ou Excel, afin de les intégrer dans les processus numériques de l’entreprise (Scan-to-Process). Enfin, les solutions de numérisation doivent fournir tout ce qui est nécessaire pour l’organisation personnelle des documents. Par exemple, elles doivent offrir un agenda, le classement direct dans un répertoire, et générer des dossiers PDF que l’on puisse rechercher et consulter. Elles doivent être capables de numériser directement dans Microsoft Word, Excel, PowerPoint et SharePoint. La capacité de transmettre des cartes de visite numérisées directement à un logiciel spécifique tel que CardMinder et de les intégrer dans des applications de Cloud comme GoogleDocs, Evernote ou Salesforce apporte un confort supplémentaire. Les nouvelles gammes de produits de numérisation doivent aujourd’hui disposer d’un large éventail de fonctionnalités qui ne doit pas conduire automatiquement à un menu compliqué. Dans l’ensemble, trois grands principes essentiels doivent préluder aux choix d’un scanner mobile : en premier lieu, la capacité de numériser les documents et de les transmettre aux diverses applications à la pression d'un bouton ; en second lieu, la facilité d'utiliser l’appareil et ; enfin, l’absence de formation supplémentaire. Ainsi seulement, l’utilisateur nomade sera en mesure de travailler dans des conditions optimales, afin de renforcer sa productivité, car le scanner ne sera pas un obstacle mais, au contraire, un outil indispensable à cette dernière. Etude « State of Mobility » : les résultats pour la France :http://www.indexel.net/images/indexel/banque_photo_article/2012_02_22_symantec_etude/2012-state-of-mobile-survey-france-key-findings.pdf |
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