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![]() Chaque année, l’étude Deloitte « Tech Trends » se penche sur l’univers en constante mutation des technologies au service de l’entreprise. Dans l’étude 2014 intitulée « Inspiring Disruption », Deloitte a sélectionné dix tendances susceptibles d’avoir un impact significatif sur les entreprises dans les deux prochaines années. Ces tendances illustrent le fort potentiel des technologies dans la transformation des modes de travail, des modèles économiques et des industries. Les tendances 2014 sont regroupées en deux groupes : • Les tendances de rupture (« disruptors ») désignent des technologies susceptibles d’avoir un impact positif de long terme sur les capacités informatiques, les processus métiers et parfois même sur les modèles de fonctionnement de l’entreprise. • Les accélérateurs (« enablers ») désignent des technologies dans lesquelles bon nombre de DSI ont déjà investi du temps et des moyens mais qui méritent un réexamen cette année du fait de certaines évolutions ou de l’émergence de nouveaux débouchés possibles. Réunissant plus de 100 contributeurs, l’étude est le fruit du travail d’observation auprès des entreprises que Deloitte accompagne et s’appuie également sur des travaux de recherches et des expertises internationales. ![]()
En Juin 2009, l’équipe prospective G9+ avait publié un premier Livre Blanc « 11 idées du G9+ pour la France : Quel avenir pour les grandes industries TIC à l’horizon 2015 », qui s’est avéré -avec le recul- remarquablement pertinent et résilient. Cinq ans plus tard, à partir de 3 conférences de haut niveau :
Ce document, officiellement présenté lors de la conférence du 24 Mars 2014, a vocation à devenir une référence pour les membres et sympathisants de l’Institut G9+, et aussi pour les décideurs publics et privés du secteur. http://www.g9plus.org/interface/2014-03-22-numerique2020.pdf ![]()
PRES DE SIX PERSONNES SUR DIX CONSIDERENT QUE LES FORMATIONS NE PREPARENT PAS BIEN AUX METIERS ACTUELS La chaire Économie numérique de l’Université Paris-Dauphine publie la neuvième édition de son baromètre trimestriel de l’économie numérique, réalisé avec Médiamétrie, sur les attentes et comportements des Français dans le domaine de l’économie numérique. Ce trimestre, le Baromètre s’intéresse à l’impact des nouvelles technologies (Internet, informatique,…) sur le travail, les métiers, les fonctions, et sur l’adaptation des formations scolaires et universitaires à ces enjeux. ![]()
Source : http://www.dgmic.culture.gouv.fr/article.php3?id_article=1804
Le livre vert adopté par la Commission européenne le 24 avril 2013 et intitulé « Se préparer à un monde audiovisuel totalement convergent : croissance, création et valeurs » ouvre une période de consultation publique jusqu’au 31 août 2013, et va entraîner un large débat public sur les conséquences de la transformation en cours du paysage audiovisuel, caractérisé par une augmentation constante de la convergence des services de médias et par la manière dont ces services sont distribués et consommés. De nombreux consommateurs possèdent aujourd’hui des téléviseurs à connectivité internet (« télévision connectée »), regardent des films et des émissions télévisées sur des tablettes, des consoles de jeux ou des téléphones intelligents, et utilisent des services à la demande sur ordinateur. Cette mutation du paysage médiatique soulève de nouveaux problèmes. Les radiodiffuseurs font valoir que la concurrence est faussée parce que les nouveaux acteurs ne sont pas soumis aux mêmes exigences réglementaires. Dans le même temps, ces derniers ont la possibilité de proposer à leurs clients des services à valeur ajoutée. D’autres préoccupations concernent le marché unique, car il semble que certains nouveaux dispositifs ne fonctionnent pas de la même manière dans tous les États membres (pour des raisons qui ne relèvent pas de la propriété intellectuelle). Les autres problèmes touchent à la protection des consommateurs et notamment des enfants : les utilisateurs s’attendent à un niveau de protection plus élevé pour les contenus télévisés que pour les contenus internet mais il devient de plus en plus difficile d’établir une distinction entre les deux. Les appareils de télévision connectée sont actuellement au nombre de 40,4 millions en Europe et la majorité des foyers de l’UE pourraient en être équipés d’ici à 2016. Le nombre de vidéonautes dans le monde, quant à lui, pourrait pratiquement doubler pour atteindre 1,5 milliard. Les questions posées par ce livre vert concernent : les règles du jeu : créer les conditions permettant à des entreprises européennes dynamiques d’affronter la concurrence internationale étant donné en particulier que les concurrents peuvent être assujettis à des règles différentes ; la protection des valeurs européennes y compris la liberté des médias et les intérêts de l’utilisateur, par exemple la protection des enfants et l’accessibilité pour les utilisateurs handicapés. Les programmes de télévision sont-ils censés faire l’objet d’une protection plus importante que les contenus Internet et où faut-il tracer la frontière ? le marché unique et les normes : apparemment, certains appareils ne fonctionnent pas de la même façon d’un État membre à l’autre. Comment pouvons-nous promouvoir l’environnement technologique approprié ? le financement : comment la convergence et le changement de comportement des consommateurs influeront-ils sur le mode de financement des films, des émissions de télévision et des autres contenus ? Comment les différents acteurs de la nouvelle chaîne de valeur y contribuent-ils ? l’ouverture et le pluralisme des médias : les mécanismes prédéfinis de filtrage, par exemple dans les moteurs de recherche, devraient-il faire l’objet d’une action des pouvoirs publics ? Les plateformes sont-elles suffisamment ouvertes ? Le livre vert ne présuppose aucune mesure mais à titre de suivi, la Commission pourrait étudier des réponses réglementaires et politiques, y compris d’autorégulation. La législation européenne sur laquelle peut influer le suivi de ce livre vert est essentiellement la directive sur les services de médias audiovisuels . Consulter le livre vert La chaire d'Economie Numérique de l'Université Paris Dauphine a publié, en collaboration avec Médiamétrie, la cinquième édition de son baromètre trimestrel de l'économie numérique, concernant le 4è trimestre 2012. Le baromètre permet de suivre l'évolution des équipements, des consommations et des usages numériques des Français sur des secteurs tels que : Internet, télécommunications, information et médias, contenus et services numériques, e-commerce, m-commerce… Cette édition contient également un focus sur l'achat de livres numériques par les français, ainsi que des questions barométriques telles que : à quel prix vous payez votre abonnement mobile? pour quelles raisons changeriez vous d'opérateur ADSL? L'étude est accessible ICI : ![]()
Les rapporteurs Pierre Collin, Conseiller d'Etat, et Nicolas Colin, Inspecteur des Finances, ont rendu en début de semaine leur rapport sur la fiscalité de l'économie numérique. Pour contourner l'optimisation fiscale de grandes entreprises telles Amazon, Apple ou Google, le rapport prône la redéfinition au niveau européen de la notion d' "établissement stable", dans le cadre des travaux de l'OCDE. Cette action s'inscrit néanmoins dans les politiques de moyen-long terme. A plus court terme, le rapport propose de fiscaliser les données collectées par les entreprises via "un suivi régulier et systématique de l'activité des utilisateurs de leurs applications". Le rapport complet est accessible ci-dessous. ![]()
Les principaux enseignements de l'étude Credoc, réalisée pour le compte du Ministère de l'Economie et des Finances et de l'ARCEP, peuvent être résumés comme suit :
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January 2021
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