Rexecode publie une étude sur l’empreinte carbone et la contribution à la croissance du numérique.
Selon l’institut, en France, le poids du numérique dans l’empreinte carbone totale est, environ deux fois plus faible qu’au niveau mondial, bien qu’il se développe rapidement.
Il souligne que le numérique est le moteur de la croissance des économies modernes et estime que la relative faiblesse du secteur numérique apparaît comme un handicap pour la croissance française.
L’étude rappelle aussi que le numérique est aussi un outil de réduction des émissions de gaz à effet de serre dans le reste de l’économie.
En conclusion, Rexecode appelle à encourager le développement du numérique, particulièrement en France, où l’intensité carbone de l’électricité est faible, tout en étant très attentif à l’efficacité et la sobriété énergétique des usages, à une bonne gestion de la durée de vie des appareils et de leur réemploi/ réparation ainsi qu’à la gestion des déchets et au recyclage.
Retrouvez l’étude en téléchargement ici.
Nouvelle « Evaluation de l’empreinte environnementale du numérique » : plus forte que prévue, mais moins liée aux terminaux
Le SECIMAVI se félicite de la mise en évidence de la maîtrise, par les fabricants, de l’empreinte environnementale de leur activité. Le syndicat de l’électronique